
Demande Client :

Pour marquer cette édition anniversaire des 5 ans du concours, les Mlle Pitch Awards & Co ont choisi de mettre en lumière la lutte contre l’exclusion et la précarité en s’engageant aux côtés du Samusocial de Paris. Depuis plus de 30 ans, l’ONG agit pour venir en aide aux personnes sans-abri ou en situation de grande vulnérabilité.
Organisé par l’agence de communication à impact Mlle Pitch, ce concours national dédié aux grandes causes permet chaque année à des talents créatifs, étudiants, freelances ou professionnels en agence, de concevoir une campagne dans le format de leur choix (print, film, radio, digital, 360, DOOH) pour une ONG partenaire. Les campagnes primées bénéficient ensuite d’une large diffusion en TV, affichage, radio et digital, offrant à l’ONG une visibilité médiatique exceptionnelle.
Réponse Agence
Pour répondre à ce brief solidaire, l’agence Mlle Pitch a rassemblé plus de 1 250 créatifs, étudiants, freelances ou en agence, qui ont imaginé plus de 550 campagnes. Ces créations ont été soumises à l’évaluation d’un jury d’exception, composé des plus grands directeurs de création de la scène publicitaire française. Réuni le 14 mai 2025, le jury a délibéré pour départager les projets et sélectionner les lauréats. Au total, 18 prix ont été remis, dont deux ont distingués le travail de Léa ALVES, Camille ROUCHON, Maxime AUBER, Nicolas PHARÉ et Maxime DRILLAUD, étudiants à l’école de communication Le Quatre by ISCOM.
LE FILM « LA PUB QUI VEND DU RÊVE » REMPORTE LE GRAND PRIX FILM SOUTENU PAR FRANCE TV PUBLICITÉ ET LE GRAND PRIX DU JURY
C’est avec leur film « La pub qui vend du rêve » que Léa ALVES, Camille ROUCHON, Maxime AUBER, Nicolas PHARÉ et Maxime DRILLAUD, étudiants à l’école Le Quatre by Iscom, ont doublement séduit le jury et remporté le grand prix film et le grand prix du jury. Partant du constat que la publicité est souvent accusée de manquer de vérité, ils ont choisi d’illustrer, à travers des objets simples du quotidien, les aspirations à une vie normale des personnes sans-abri.
Les étudiants reviennent sur leur intention : « Tout l’intérêt du film se joue dans sa monotonie. Il tend vers une réalité qui peut sembler désenchantée pour finalement traduire un rêve. Il questionne sur les différents points de vue et pousse à la réflexion quant à sa propre condition et à celle des sans-abris. L’intérêt est avant tout de faire réagir en poussant aux dons pour faire de ce rêve, aussi monotone soit-il, une réalité pour les sans-abris. »
Le film, réalisé par Bruno Aveillan, parrain de la catégorie film, bénéficiera d’une large diffusion :
- Dans les cinémas parisiens au format de 45s.
- En TV au format de 30s sur France 2, France 3 et France 5 pendant deux semaines et sur Euronews pendant quatre mois.
Les réactions du jury
« Le grand prix m’a beaucoup touché aussi bien dans la forme que sur le fond. Dans la forme, le film utilise un parti-pris de réalisation fort, sobre et minimaliste qui sied bien au propos. Sur le fond, le film traite de l’exclusion de façon originale, avec un propos qui interpelle en jouant avec les codes et à‑prioris associés à la publicité. Un très beau film où fond et forme ne font qu’un. Bravo ! »
Luc WISE, président de jury et fondateur/CEO de The Good Compagny


« C’est enthousiasmant de voir ce film déjà primé, remporter l’unanimité et se transformer en grand prix du jury ! Et je félicite particulièrement les étudiants d’avoir eu cette idée très efficace de plans serrés sur un logement : une façon à la fois concrète et projective de se projeter sur ce que pouvait être la vie d’avant, à la rue, et de ce quelle est désormais, au chaud, dans un appartement. »
Florence TRAN LAUFMAN, Responsable de la communication au Samusocial de Paris
« C’est toujours excitant de voir le travail d’autant de personnes autour d’un brief commun. Il y a clairement du talent, ça fait plaisir pour l’avenir. J’ai été particulièrement séduit par la campagne « La pub qui vend du rêve ». Un principe simple, connivent, qui parle à tout le monde et permet une prise de conscience, sans passer par le drame ou le pathos. »
Jean-Laurent PY, Directeur de création chez BABEL
